L’avenue des Champs-Élysées et ses environs ne sont pas ressortis indemnes des heurts qui se sont multipliés durant la manifestation des « gilets jaunes » : pavés arrachés, barricades, voitures brûlées… Pour éviter les dégâts, de nombreux commerces ont fermé à cette occasion, que ce soit à Paris ou ailleurs en France où des manifestations étaient organisées. Suite à une rencontre avec les représentants du commerce, Bruno Le Maire a livré un premier bilan économique : « les évènements récents liés au mouvement des gilets jaunes ont eu un impact sévère sur l’activité économique nationale, en métropole et dans certains départements d’outre-mer ».
Le ministre de l’Économie a livré quelques chiffres concernant la grande distribution, qui a essuyé une perte de chiffre d’affaires de 35% le samedi 17 novembre, et de 18% le samedi suivant. Durant la semaine, ces pertes se sont échelonnées entre 8 et 15%. « La première demande de l'ensemble des artisans, commerçants, PME, distributeurs, présents à cette réunion c'est la garantie de la liberté de commerce et de circulation dans tout le pays », a expliqué le locataire de Bercy.
Bruno Le Maire va travailler avec son homologue de l’Intérieur, Christophe Castaner, pour « garantir » la liberté de commerce et de circulation sur l’ensemble du pays afin de « permettre à l'activité économique de poursuivre son cours ». Le ministre de l’Économie précise toutefois qu’il est encore trop tôt pour évaluer l’impact du mouvement sur la croissance.
Le ministre de l’Économie a livré quelques chiffres concernant la grande distribution, qui a essuyé une perte de chiffre d’affaires de 35% le samedi 17 novembre, et de 18% le samedi suivant. Durant la semaine, ces pertes se sont échelonnées entre 8 et 15%. « La première demande de l'ensemble des artisans, commerçants, PME, distributeurs, présents à cette réunion c'est la garantie de la liberté de commerce et de circulation dans tout le pays », a expliqué le locataire de Bercy.
Bruno Le Maire va travailler avec son homologue de l’Intérieur, Christophe Castaner, pour « garantir » la liberté de commerce et de circulation sur l’ensemble du pays afin de « permettre à l'activité économique de poursuivre son cours ». Le ministre de l’Économie précise toutefois qu’il est encore trop tôt pour évaluer l’impact du mouvement sur la croissance.